Témoignages de 3 élèves en année de césure : Léopold (primaire), Arthur (collège), Louise (lycée) partagent leurs expériences enrichissantes à l’étranger.

Principaux sujets abordés :

• Léopold (primaire) : Parti en CM2 pour améliorer son anglais et pratiquer le rugby, il prolonge son séjour, gagne en fluidité en anglais et améliore ses compétences en rugby.

• Arthur (collège) : En année de césure pour redécouvrir l’apprentissage et le tennis, il revient transformé, plus mature et prêt pour de nouvelles opportunités académiques.

• Louise (lycée) : Choisit une année de césure en year 12 pour perfectionner son anglais et profiter de sa passion pour l’équitation. Elle revient enrichie de cette expérience avant de poursuivre ses études.

Résumé :

L’article présente les témoignages de trois élèves ayant vécu une année de césure à différents niveaux scolaires. Léopold, en primaire, part pour améliorer son anglais et pratique le rugby. Son expérience est si enrichissante qu’il prolonge son séjour. Arthur, au collège, cherche à redécouvrir le plaisir d’apprendre et se réconcilier avec sa famille. Il revient transformé et envisage des études à l’étranger. Louise, au lycée, choisit l’année de césure pour perfectionner son anglais et poursuivre sa passion pour l’équitation. Elle revient avec une expérience enrichissante avant de poursuivre ses études et intégrer HEC.

Les témoignages de 3 élèves partis en année de césure à 8, 14 et 16 ans.

 Une année en primaire

Léopold est un jeune garçon sportif et bon camarade, qui fréquente une école primaire à Paris. Pas le premier de la classe, mais agréable et apprécié par tous. Il pratique le rugby avec passion et rêve de pouvoir s’adonner à son sport favori, dans une école qui ressemblerait à Poudlard !

 Ses parents sont très sensibles à l’importance de l’anglais et souhaitent que Léopold acquiert, dès le plus jeune âge, une très bonne maîtrise de la langue et un accent typically British.

Ils envisagent donc de lui faire passer le premier trimestre de CM2 dans une école anglaise, en choisissant volontairement le début de l’année pour s’assurer qu’il sera bien le seul français dans son école anglaise.

La maîtresse de CM1 et la directrice, consultées en avril de l’année précédant le séjour, donnent volontiers leur accord pour ce projet et y voient une très belle opportunité pour Léopold.

Pour les accompagner, les parents font appel à une agence spécialisée dans les scolarités en internat anglais.

Celle-ci leur propose plusieurs établissements bien adaptés au profil de Léopold et la famille choisit une charmante école à la campagne, réputée pour la qualité de ses enseignements, le dynamisme de son internat et des propositions sportives et artistiques très variées.

Les parents sont rassurés de savoir qu’ils pourront voir Léopold quand ils le souhaitent, au moment des congés de milieu de trimestre et lors de certains week-ends.

Après les premiers jours sur place, Léopold se sent vite dans son élément, dans cette école très familiale où les plus jeunes sont cocoonés “comme à la maison”. Il est accueilli par un personnel et des élèves d’une grande gentillesse qui savent bien que les premiers jours ne sont pas toujours faciles.

Tant et si bien que, à peine un mois après son séjour, Léopold exprime le souhait de prolonger cette expérience jusqu’à la fin de l’année scolaire.

L’agence qui a accompagné la famille les rassure sur les modalités pratiques de cette prolongation et sur la poursuite de sa scolarité en France. Et voilà Léopold parti pour une année complète de CM2 en college anglais.

Bilan au retour, un an plus tard ? une parfaite fluidité en anglais, un jeune garçon épanoui et grandi, de très belles amitiés et, cherry on the cake, un niveau de rugby impressionnant !

Une année au college 

Arthur a longtemps été un garçon sympa et bien dans ses baskets.

Mais, depuis la classe de quatrième, les résultats scolaires sont à la baisse et l’ambiance à la maison se dégrade : les discussions incessantes autour des devoirs, des fréquentations et des tenues vestimentaires s’enchaînent et finissent par lasser son entourage.

Lorsque ses parents comprennent qu’un redoublement se profile, ils se demandent si une année, pour aller prendre l’air, ne serait pas LA bonne solution pour leur fils.

Le brief de départ est le suivant : une école bienveillante, où Arthur pourra reprendre confiance, retrouver le plaisir d’apprendre, et s’adonner au tennis qu’il a un peu délaissé depuis le COVID, alors qu’il jouait beaucoup quand il était plus jeune.

En dépit d’une ferme opposition au démarrage des discussions, Arthur accepte le challenge, comprenant que c’est peut-être une vraie chance de rebondir. 

Parti sans conviction, Arthur revient en France, un an après, réellement transformé : il a mûri, ses relations avec sa famille se sont apaisées, il est désormais dans un état d’esprit positif et est prêt pour un nouveau départ !

Fort d’un très bon niveau d’anglais et d’une expérience multiculturelle qui l’a séduit, Arthur envisage sereinement de faire ses études dans une université réputée à l’étranger, ce qui semblait assez compromis un an plus tôt.

Une année au lycée 

Louise est la deuxième d’une fratrie de cinq enfants.

Lorsque ses parents contactent l’agence qui les a accompagnés pour leur projet d’année de césure à l’étranger, cette bonne élève s’apprête à rentrer en Première dans son lycée. Mais, après discussion en famille, elle a choisi de faire une year 12 en Angleterre, c’est-à-dire l’équivalent d’une Première française. 

La famille, qui a découvert Parcoursup pour leur aînée, se rend bien compte que le niveau d’anglais de Louise est “juste scolaire” et craint que cela soit gênant pour la suite.

L’objectif ? un anglais au top, avant la dernière ligne droite du bac.

Le choix de la famille se porte sur une école de filles, réputée pour son niveau académique et qui permettra à Louise de s’adonner à l’équitation, une vraie passion depuis l’enfance.

Dès les premiers jours sur place, la jeune française est frappée par les infrastructures académiques, sportives et artistiques de l’école, par l’implication et la bienveillance des professeurs et du staff, par la diversité des clubs et activités proposées dans la journée : théâtre, sport, design, cuisine, il y en a pour tous les goûts.

Souhaitant faire un bac scientifique, Louise choisit d’étudier les maths, la physique, la chimie, tout en gardant l’espagnol, afin de ne pas perdre sa LV2 au cours de son année anglaise…

Louise profite à fond de son année sur place et revient enchantée de cette expérience dans cette école qui lui correspond parfaitement, sur tous les plans.

La suite ? Après un très beau parcours de droit, elle vient d’intégrer un master à HEC !

Ce contenu vous est proposé par un membre de la Communauté d’experts AZIMUT : Colombe DINOCHEAU, fondatrice de My English School, séjours linguistiques et scolarités à l’étranger