Votre jeune souhaite partir étudier à l’international dès la fin du lycée. C’est un projet ambitieux qui va bousculer sa vie mais aussi la vôtre.  S’il décide de se lancer, il va devoir faire face à de nombreuses démarches qu’elles soient administratives ou logistiques. Comment alors l’accompagner en tant que parent ?

Dans cet article, nous abordons:

• Encourager l’autonomie : Favoriser son indépendance tout en restant un soutien.
• Soutien actif : Être présent pour aider et conseiller sans dominer le projet.
• Établir un plan d’action : Définir un rétroplanning et des réunions pour suivre l’avancement.
• Parcoursup et options locales : Inscrire des choix en France pour sécuriser une place en cas de besoin.
• Mobilité à divers niveaux : Explorer les opportunités de partir à différents stades de sa formation.
• Relations familiales : Si besoin, recourir à un professionnel neutre pour apaiser les tensions et faciliter le processus.

Encourager l’autonomie : Favoriser son indépendance tout en restant un soutien.

Votre jeune souhaite partir étudier à l’international dès la fin du lycée. C’est un projet ambitieux qui va bousculer sa vie mais aussi la vôtre.  S’il décide de se lancer, il va devoir faire face à de nombreuses démarches qu’elles soient administratives ou logistiques. Comment alors l’accompagner en tant que parent ?

Soutien actif : Être présent pour aider et conseiller sans dominer le projet.

Une envie de départ dénote entre autres souvent d’un besoin d’indépendance et d’autonomie. Dans l’idéal, le jeune devrait avoir la capacité de pouvoir faire toutes ses recherches lui-même afin de bien s’approprier son projet et de pouvoir partir en toute connaissance de causes.

C’est en fait malheureusement rarement le cas, car il a besoin de réassurance, d’aide et de méthode. Garder en tête que c’est SON projet, et pas le vôtre, vous évitera l’envie de tout prendre en main.

Lui montrer que vous êtes son club de soutien et qu’il peut faire appel à vous dès qu’il en a besoin. 

Établir un plan d’action : Définir un rétroplanning et des réunions pour suivre l’avancement.

Définir ensemble un plan d’actions, de type rétro planning pour se répartir les tâches peut être une bonne solution ainsi que fixer un agenda de rendez-vous réguliers pour faire le point sur l’état d’avancement du projet.

Parcoursup et options locales : Inscrire des choix en France pour sécuriser une place en cas de besoin.

En parallèle de ses demandes à l’étranger, le jeune qui est en terminale, va postuler en France notamment via Parcoursup. Il est impératif de le faire, notamment dans les formations non sélectives de type licence, car cela lui sécurisera une place dans le supérieur. Formation qui pourra d’ailleurs lui permettre un départ à l’international au cours de son cursus s’il n’a pas pu partir directement après le Baccalauréat. Cependant il peut aussi vivre une expérience internationale en choisissant de concilier travail et découverte du pays.  

Mobilité à divers niveaux : Explorer les opportunités de partir à différents stades de sa formation.

Nous vous rappelons qu’à chaque niveau d’étude il y a la possibilité d’étudier à l’étranger. Le départ ne s’effectue pas exclusivement après le Baccalauréat mais peut aussi avoir lieu en cours de cursus ou au niveau du Master.    

Relations familiales : Si besoin, recourir à un professionnel neutre pour apaiser les tensions et faciliter le processus.

Quel que soit l’âge, les relations entre les jeunes et leurs parents peuvent parfois être tendues dans ces périodes de choix et de démarches. Faire appel à une tierce personne, neutre, un professionnel de l’orientation à l’international, peut pacifier les relations et permettre un déroulement serein du projet du jeune.